Complice du bien-être

Par mes actions et nos interactions, je cherche à redonner à la personne aidée la joie au quotidien en identifiant ses besoins.

Par exemple, nous élaborons un jeu de mémoire adapté aux thèmes de prédilection de la personne aidée. L’ainé se sent concerné et participe activement. Nous avons passé un bon moment et la mémoire a été travaillée.

Dans cette composante, j’instaure aussi des discussions constructives avec l’aîné qui n’a pas beaucoup l’occasion de parler et d’échanger, ou qui a des déficiences cognitives.

Le plus souvent, nous papotons tranquillement, rigolons, racontons des anecdotes du quotidien. Par ces discussions, l’aîné s’échappe des émotions négatives et progresse vers le bien-être.